Signe chinois du coq
« Le signe chinois du coq » est le plus ostentatoire de tous les signes chinois. Orgueilleux, déterminé, trop sûr de lui, parfois vaniteux et autoritaire, son point fort c’est la loyauté. Sa franchise est presque brutale. Infatigable, il sait défendre avec conviction ses projets. Cependant, son assurance cache souvent une grande émotivité et une certaine anxiété.
Le caractère du signe chinois du coq
Il ressent toujours un besoin impérieux d’agir, de prendre des initiatives, de manifester son individualisme. Il aime aussi souvent jouer d’ambiguïté, de mystère, et se montre capable de demeurer en toute circonstance le maître du jeu. Il possède une faculté de pousser ses actes jusqu’à leurs conséquences extrêmes.
Pour « le signe chinois du coq », la vie est une aventure passionnante : en aucun cas, il ne la boude. Les vicissitudes de l’existence ont très peu d’emprise sur son moral, car il est animé d’un enthousiasme toujours renouvelé. S’il tombe, il se relèvera le plus vite possible et reprendra sa marche comme si rien n’était arrivé.
Son esprit est constamment en éveil. On ne pourrait que s’étonner de son pouvoir de s’étonner et de s’intéresser à tout et à tous. Détestant l’oisiveté, il lui faut toujours faire quelque chose ou rêver très fort à quelque chose. Mais il présume généralement de ses forces et refuse de tenir compte de ses limites et des contraintes extérieures. Il veut tout, et, tout de suite.
« Le signe chinois du coq » commet régulièrement des excès ou des imprudences dans un domaine ou dans un autre. La notion de combat, de lutte étant très marquée chez lui, la réussite, lui semble donc essentielle. Il possède un profond désir d’élévation, mais ce désir est souvent exacerbé par un désir de revanche, ou de compétition.
D’ailleurs, son signe le dispose plus que d’autres à affronter quelque chose ou quelqu’un dans une lutte permanente. C’est l’émotion forte, le désir ardent qui constitue en quelque sorte le moteur de son activité. Il trouve donc souvent dans cette volonté de revanche une formidable énergie qui lui assure une efficacité réelle.
L’individualisme du « signe chinois du coq » est sans bornes. Allergique à l’ordre établi, aux hiérarchies et aux conventions, il est très souvent en mauvais termes avec l’autorité. Sans être anarchiste de nature, il ne respecte les lois et les règlements que dans la mesure où sa sécurité personnelle l’exige, plutôt que par conviction. Et pourtant, il peut de temps en temps se laisser emporter par son besoin de sécurité et d’habitudes rassurantes.
Il aime cependant aider les autres à condition qu’ils lui soient reconnaissants et qu’ils le fassent savoir, car il adore les honneurs et déteste être pris en défaut.
Vigilant et observateur, rien ne lui échappe et il adore jouer les leaders. Protecteur, s’il aime les gens, « le coq » est prêt à rendre service. Le problème, c’est qu’il confond « protection et domination ».
Le pire défaut « du coq » est sa vantardise : le coq est un individu qui a tendance à raconter à tout bout de champ ses exploits réels ou imaginaires, à chanter ses propres louanges. En effet, il ne supporte pas les critiques et ne tolère pas non plus qu’on le supplante. Il désire avant tout rester le premier. Évidemment, « le coq » le sera plus ou moins selon le reste du thème et son élément. « Un coq d’eau » ou un « coq de terre » sera moins fortement porté à l’ostentatoire et aura moins besoin de se montrer aux yeux des autres.
De plus, il manque totalement de tact et de diplomatie, blessant de nombreuses personnes autour de lui. On pourrait aussi le qualifier de vaniteux, car il a la manie de se prendre réellement au sérieux, convaincu d’avoir raison en toute circonstance et persuadé de savoir exactement ce que vous voulez.
Cependant, sous son aspect fier et bravache se cache en réalité un personnage peu sûr de lui et qui s’interroge constamment.
Le signe chinois du coq et le professionnel
Quelle que soit la profession que « le signe du coq » a choisie, « le coq » l’exercera avec ardeur et dévotion. Sa capacité de s’adapter à son travail et d’en tirer les meilleures satisfactions est vraiment extraordinaire.
Sa grande capacité de travail, sa ténacité, sa patience dans la poursuite d’un objectif choisi l’aident beaucoup dans sa vie professionnelle. Les obstacles sont pour lui des stimulants : s’ils n’existaient pas, il n’hésiterait pas à en créer : la difficulté ne l’effraie pas ; au contraire, elle lui donne des ailes.
Il est très astucieux et habile dans les affaires, avec le don d’exploiter à son profit les capacités d’autrui. Mais il a tendance à se disperser, à entreprendre trop de choses à la fois, ou à être trop précipité.
Il est souvent un excellent planificateur, mais il perd un peu de son efficacité avec des détails sans importance. Doué pour faire rentrer de l’argent ou en affaires, « le signe chinois du coq » sait prendre des risques et peut se montrer très créatif.
Le problème avec « le coq », c’est qu’il ne supporte pas que l’on ne suive pas ses méthodes et ses idées ; ce qui est souvent source de conflits avec ses collègues de travail.
Le signe chinois du coq et l’argent
Il est capable de dépenser des fortunes pour son apparence, son confort, et ses plaisirs, et, parfois pour les vôtres quand il est bien disposé, mais sa générosité reste toujours tout de même calculée. Cependant, effrayé par l’idée de manquer de quelque chose, il réussit à tenir ses comptes.
Le signe chinois du coq et la santé
Si tous les natifs du signe ne respirent pas la force, tous possèdent souvent une résistance beaucoup plus grande qu’ils ne l’imaginent grâce à leur extraordinaire capacité de récupération et de régénération.
Selon la tradition astrologique, « le signe chinois du coq » est d’une nature anxieuse, et ses tourments intérieurs provoquent fréquemment des troubles gastriques plus ou moins sérieux.
Les points faibles de son organisme sont l’appareil génito-urinaire et la région anale. Il a donc intérêt à observer une stricte hygiène et à prendre certaines précautions pour éviter la contamination lors des rapports sexuels.
Il est aussi vulnérable aux hémorroïdes, à la constipation et à la diarrhée.
« Le coq » peut être sujet à de petites dépressions nerveuses souvent provoquées par des déceptions auxquelles il accorde trop d’importance. Le sommeil tient une grande place chez lui, car c’est grâce au sommeil qu’il peut renouveler son énergie le plus efficacement.
En général, ses problèmes sont plus souvent psychologiques que physiques ; ou du moins, les derniers ont clairement leur origine dans les premiers.
En matière d’alimentation, son comportement ressemble beaucoup à un réflexe d’autodestruction, qui sous-tend sa personnalité. « Le coq » fait peu cas des conseils qu’on pourrait lui donner en toute bonne intention. Il serait pourtant souhaitable qu’il accepte d’adopter une alimentation un peu moins fantaisiste, un peu plus équilibrée, en limitant sensiblement l’alcool et les excitants.
Pour rester en bonne santé, « le signe chinois du coq » doit être actif, exercer son endurance. Il sera d’ailleurs particulièrement doué pour les arts martiaux : judo, karaté, sabre japonais. Il aimera également la boxe et le tir à l’arc ; tout ce qui exige de la concentration et de l’attention. Les sports nautiques, surtout ceux qui procurent des émotions fortes, lui conviennent bien.
Le signe chinois du coq et son comportement amoureux
Il faut le dire tout de suite : « le signe chinois du coq » est un être passionné. Mais sa passion n’est pas de tout repos. Malheur à celui ou celle qui tombera dans ses griffes sans savoir à quoi il ou elle s’expose ; c’est-à-dire à des jeux subtils de bourreau à victime. Il a besoin de posséder entièrement l’être aimé.
Les amours du « coq » sont très entières, mais aussi très tourmentées et compliquées, traversées de successifs affrontements, déchirements, cris de haine et de passion. De plus, il est on ne peut plus jaloux, et il peut aussi parfois se montrer un peu cassant.
Son parcours amoureux n’est jamais simple ou linéaire. À certaines périodes de son existence, il se vante d’être un célibataire endurci. Puis à d’autres moments, il défendra avec force la vie à deux. Et cela, sans jamais avoir l’impression d’être en contradiction avec lui-même. Mais tôt ou tard, il éprouvera le besoin de vivre en harmonie et de tout partager avec un partenaire privilégié.
L’amour physique joue un grand rôle dans son comportement sentimental. Il se laisse volontiers guider par son instinct, et très vite, les sentiments amoureux, voire la passion, naissent en lui.
« Le coq» a le sens de la famille et souhaite avoir une descendance, bien que peu nombreuse. Il apprécie les réunions familiales, et les vacances en famille ne sont pas pour lui déplaire. Le rôle de chef de famille lui va comme un gant. Mais il est préférable que ses enfants ne se montrent pas trop têtus et indisciplinés, car il déteste qu’on lui résiste.
Le partenaire idéal du coq
L’idéal serait un partenaire qui réussisse à le pondérer, à le stabiliser, à le modérer. Comme « le buffle », « le serpent » ou le cochon. Mais il lui faut quelqu’un aussi qui soit capable d’accepter le caractère imprévisible « du coq » et il faut bien le dire un peu ostentatoire.
Le coq d’eau
« Le coq d’eau » a un caractère sérieux. Lorsqu’il a accepté de rendre un service ou de s’occuper d’une affaire quelconque, on peut lui faire entièrement confiance. Bavard, il l’est certes, mais il ne dit rien de sot, et ses flots de paroles ne nuisent ni à son zèle ni à son dynamisme.
Le natif a la faculté de s’adapter sans trop de peine à toutes les situations qui se présentent. Il peut accomplir les tâches les plus ingrates sans se décourager.
Comme « le coq d’eau » ne prise rien tant que, l’efficacité, il a tendance à mettre la main à la pâte des autres. Son entourage le sait et les moins scrupuleux cherchent à en profiter. On lui conseillera donc d’être vigilant, de ne pas céder à l’envie d’aider les paresseux. Il ne devrait pas non plus tout faire pour ses propres enfants ou ses intimes, chacun devant s’efforcer de voler de ses propres ailes.
« Le coq d’eau » est un coq avide de connaissances et qui s’intéresse à tous les secteurs de l’activité humaine. Comme il lit beaucoup et a une bonne mémoire, il est capable de tenir des discussions passionnantes sur bon nombre de sujets.
L’un des principaux défauts « du coq d’eau » est sa susceptibilité excessive. La cause en est peut-être son sentiment d’infériorité et sa grande sensibilité. Quand on lui porte tord, ses rancunes sont tenaces.
Le coq de bois
Celui (ou celle) qui aime « un coq de bois » doit se rappeler constamment une chose importante : le natif est incapable de grandes manifestations sentimentales. Il est éloquent et intarissable lorsqu’il discourt sur l’amour en général ou lorsqu’il critique la façon d’aimer des autres. Mais il existe en effet chez « le coq de bois » une sorte de pudeur qui force sa réticence, mais qui, rassurez-vous, n’entrave en aucune façon l’intensité de ses passions. Pour lui, les choses les plus importantes n’ont pas besoin d’être dites.
Peut-être cette pudeur a-t-elle ses racines dans la méfiance naturelle du natif. « Le coq de bois » se fie difficilement aux autres et s’interdit d’aller aux confidences. Pour préserver son équilibre émotionnel, il devra apprendre à apprécier la douceur de l’intimité et d’une certaine dépendance sentimentale.
« Le coq de bois » s’intéresse à beaucoup de choses, lit énormément, peut-être de façon un peu anarchique, et n’a pas peur des nouvelles idées ou des nouvelles attitudes
Bien que son enthousiasme soit solide, son moral est sujet à des hauts et des bas, c’est là l’une des principales contradictions de son caractère. Il connaît parfois des périodes d’exaltation ou de dépression, exactement comme un coq se conduirait lorsqu’il fait beau ou lorsqu’il pleut. Ces variations d’humeur ne sont jamais graves, à moins que le natif ne connaisse un bouleversement d’une ampleur exceptionnelle.
Consciencieux et ordonné, « le coq de bois », travailleur acharné manque, malheureusement, d’esprit de suite et de patience. Lorsqu’il entreprend un projet, il s’y donne corps et âme, inconscient de ce qui se passe autour de lui et oubliant même de se nourrir et de se reposer convenablement. Mais il lui faut absolument brûler les étapes et en finir dans un minimum de temps, autrement il perdrait tout intérêt et abandonnerait comme s’il était tout d’un coup vidé de toute énergie. S’il peut parfois réaliser de brillants tours de force, « le coq de bois » n’est certainement pas apte à s’embarquer dans des projets de longue haleine. Ce n’est décidément pas un coureur de fond, au sens figuré bien entendu.
Le coq de feu
Il ne faut pas parler de découragement ou de dépression à « un coq de feu » : rien ne l’arrête jamais. Ceux qui sont de nature inquiète et peureuse ont tout intérêt à rechercher sa compagnie et à recharger leurs batteries auprès de lui. Son pouvoir de galvanisation est grand et bénéfique.
On reproche souvent au « coq de feu » de manquer de concentration. Il fait en effet souvent preuve d’agitation et de dispersion, voulant faire cent choses plus ou moins inutiles à la fois et se lançant dans toutes sortes d’aventures.
Ce « coq » n’est pas difficile à vivre, mais son caractère est suffisamment emporté pour lui attirer des ennuis gros de conséquences. Il est capable de claquer la porte au nez de son patron sur un coup de tête, quitte, ensuite, à traîner pendant des mois dans une agence locale pour l’emploi. Sa langue est assez vive et peut lui jouer de mauvais tours. La maîtrise de soi est une qualité qu’on ne saurait trop lui conseiller de cultiver avec assiduité.
Mais le natif n’est pas méchant. Il se sert rarement de ses ergots comme arme, mais le plus souvent comme décoration. Il sait parfois faire preuve d’une certaine innocence et d’une bonne dose de candeur. Bon vivant, « le coq de feu » sait apprécier les meilleurs plats de toutes les cuisines du monde ; son vocabulaire culinaire est d’ailleurs riche et précis. Sur le plan sexuel, il est sans complexes ni fausse pudeur. Les « choses du sexe » ont à ses yeux leur importance sans pour autant constituer une obsession. C’est une attitude saine que tout le monde n’a pas naturellement.
Malgré sa tendance à étaler son beau plumage et à bomber sa gorge, « le coq de feu » n’est jamais ennuyeux. Il a l’esprit vif, la repartie facile et un solide sens de l’humour. Il peut même parfois être spirituel bien qu’il s’en croie incapable.
Chez « le coq de feu », l’esprit non conformiste du signe est développé au plus haut degré. Toute sa vie, il cherchera à préserver son indépendance, souvent à des prix exorbitants. Il rejettera tout ce qui a trait à l’autorité, à l’ordre établi. C’est un anarchiste né qui ne prend pourtant jamais parti pour la violence.
Le coq de métal
Les fanfaronnades du « coq de métal » pourraient irriter certains. Il faut pourtant reconnaître qu’il n’est pas foncièrement mauvais. S’il vante ses mérites, qui sont, la plupart du temps, imaginaires, c’est plutôt à cause de sa nature, et non parce qu’il cherche délibérément à en tirer de réels avantages. Il n’y a pas en lui trace de malice et ce n’est pas non plus un profiteur.
Ce « coq » parle beaucoup de ses exploits dans le domaine amoureux, de ses conquêtes fulgurantes et de ses infidélités monstrueuses. Ne soyez pas dupe : il ne fait même pas un centième de ce qu’il raconte, n’ayant pratiquement pas de donjuanisme dans le sang.
La langue de ce « coq de feu » lui cause bien des déboires dans la vie, car trop franc, il l’est à coup sûr. Diplomate, il ne l’est nullement. Il dit tout ce qui lui passe par la tête, de la façon la plus spontanée et la plus crue, sans jamais chercher à ménager les sentiments et les susceptibilités de ses interlocuteurs.
Comme il est plutôt téméraire et a le don de la perspicacité, ses propos touchent brutalement les points les plus sensibles. On doit se méfier des fréquentes colères de ce « coq de métal » qui ne sont généralement pas violentes, mais au cours desquelles il peut dire n’importe quoi en ne mâchant pas ses mots.
Bon nombre de « coqs de métal » sont solitaires, car ils sont souvent suspicieux et maladroits. Ils ne savent donc pas garder longtemps un amour auprès d’eux.
Le natif est principalement attiré par les professions qui lui donnent la possibilité de voyager, surtout dans les pays étrangers. Il a soif d’évasion. Il ne se sent bien dans sa peau qu’ailleurs, lorsqu’il a raison de rêver d’un port d’attache. Il ne risque donc jamais de devenir casanier et l’union libre ou des amours sans lendemain lui conviennent mieux que le mariage traditionnel.
Le coq de terre
Le « coq de terre » présente certains traits de caractère les plus féminins du signe. La volonté lui fait souvent défaut. « Il flotte, il hésite » ; l’indécision est la règle plutôt que l’exception. Dans sa vie professionnelle comme dans sa vie affective, il lui faut une discipline imposée de l’extérieur à laquelle il se plierait volontiers et parfois même avec gratitude. En d’autres termes, il a besoin d’être encadré. « Le coq de terre » a aussi besoin de beaucoup d’encouragements et d’affection pour mener à bien toutes les tâches qui lui incombent.
Le natif n’est pas exactement paresseux, car le fond d’enthousiasme du signe existe bel et bien chez lui. Mais il a tendance au dilettantisme et à la rêverie excessive. Il n’a pas intérêt à se choisir une profession libérale, car il risquerait de piétiner. Un travail d’équipe lui conviendrait mieux en lui fournissant la stimulation qui lui est indispensable.
« Le coq de terre » doit se donner beaucoup de mal pour préserver son équilibre psychique, car il est sujet à l’instabilité émotionnelle. Parmi les facteurs les plus susceptibles de compromettre cet équilibre, citons sa tendance à se lamenter et à douter de lui-même.
Pour échapper à l’influence pernicieuse de ces facteurs, il lui suffirait de sortir résolument de lui-même en s’intéressant intensément à une multitude de choses ; en faisant du sport, surtout du sport d’équipe, et en fuyant toute ambiance déprimante. Il doit aussi se méfier des expériences occultes, car il est très impressionnable.
Comme on peut s’y attendre, la pudeur est plus accentuée chez « le coq de terre » que chez ses frères de race. Dans la meilleure des occurrences, la sexualité est considérée comme un véhicule des aspirations du cur et de l’esprit. Elle est souvent sublimée ou encore reléguée au rang des préoccupations de moindre importance. Le natif se montre aussi, bien entendu, avare de manifestations sentimentales.
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