Signe chinois du chien
En Général, « le signe chinois du chien » est fidèle, affectueux. Honnête et loyal, il ne supporte pas l’injustice. Très peu matérialiste et sobre, il préfère le langage direct. Anxieux, il se montre méfiant à l’égard de tout, y compris de lui-même, mais il sait valoriser son entourage, détestant l’injustice et l’intolérance.
Le caractère du signe chinois du chien
Sa tendance naturelle à s’intérioriser engendre des difficultés au laisser-aller, à l’expression des pensées et des désirs sans crainte.
Ce détachement apparent, cette réserve certaine sont souvent interprétés par les autres, mais à tort comme de l’indifférence, du dédain, ou encore de la sécheresse de cœur.
« Le signe chinois du chien » réunit en sa personne un grand nombre de qualités humaines. Son honnêteté est sans failles, sa générosité n’a pratiquement pas d’égale. Il a le sens profond du devoir. En effet, intègre et protecteur, lorsqu’il souhaite défendre son territoire ou son clan, il ne tolère aucune invasion, aucune perturbation.
On peut toujours compter sur lui, car il n’a qu’une parole et sait faire preuve d’une discrétion absolue. On trouve en lui un ami sûr et fidèle, une personne dont la loyauté est à toute épreuve. Enfin, il est un modèle de dévouement et de serviabilité, s’il considère la personne comme faisant partie de votre clan.
Lent à donner sa confiance et à se montrer chaleureux, « le signe chinois du chien » n’accueille pas d’emblée les inconnus, mais peut former ensuite des amitiés durables. Il n’attaque jamais, ou, alors, rarement le premier. Il peut par contre très vite mordre, si l’on franchit sans autorisation les limites qui séparent son monde et l’extérieur.
Humble, il n’aime pas se mettre en avant et préfère de loin la tranquillité de l’anonymat, car il déteste que l’on vienne envahir son territoire. Il ne recherche ni la querelle ni le pouvoir, mais il sait combattre ce qu’il considère comme de l’injustice, de l’abus de pouvoir ou de l’irrespect.
Volontiers porté à aider les autres, « le signe chinois du chien » n’aime tout de même pas se sentir soumis ou oppressé et encore moins se sentir bousculé. Dans le cas contraire, il peut réagir avec violence.
Fidèle, parfois jusqu’à la bêtise, il peut mettre de côté ses propres intérêts et faire couler sa propre barque, quand il a pris un engagement moral avec quelqu’un. Tout ce qui touche à la justice l’intéresse, et tout ce qui a trait à l’injustice le révolte.
Durant toute sa vie, « le signe chinois du chien » ne cesse de mener une guerre sans merci contre les injustices, sociales ou autres, contre la famine, l’hypocrisie, l’intolérance, l’autoritarisme, la mauvaise foi, contre l’exploitation de l’homme par l’homme.
L’ésotérisme, et les mystères de la vie le fascinent. Mais, son plus grand défaut est sans conteste son esprit de méfiance, un langage parfois cassant. Il supporte mal la faiblesse et ceux qui ne savent pas donner le meilleur d’eux-mêmes.
Le signe chinois du chien et le professionnel
Dans sa vie professionnelle, « le chien » ne cherche pas forcément le pouvoir, mais, beaucoup, plus l’accomplissement. Cependant, s’il n’aime pas forcément prendre les rênes, il n’aime pas non plus être commandé. Il donne souvent le meilleur de lui-même, lorsqu’on lui donne carte blanche et que l’on ne le bouscule pas.
Animé par un puissant idéalisme, le « signe chinois du chien » peut jouer un rôle social de premier ordre. Il est aussi doué pour une profession intellectuelle, scientifique ou pédagogique.
D’une façon générale, il aime exercer un métier qui vous permet d’assurer la défense des faibles et d’apporter de l’aide à ceux qui en ont besoin. Le barreau, la médecine, la voyance, l’humanitaire, la psychiatrie, l’éducation figurent donc parmi ses domaines préférés.
Il est fait pour toutes les entreprises de longue haleine. Les travaux lents et difficiles ne le rebutent pas, au contraire. Il peut mettre son intelligence analytique au service de travaux scientifiques, d’études philosophiques, de recherches archéologiques. Le passé, le lointain passé, les vieilles pierres, les langues anciennes. Tout cela le fascine, beaucoup plus, même que le présent ou même que l’avenir.
On peut compter sur « le signe chinois du chien », car il est de parole. Mais il prend son temps. D’ailleurs, il a le temps ! Il déteste être bousculé. Sa réussite est souvent tardive. Paradoxalement, il s’adapte beaucoup mieux au modernisme dans la vieillesse que dans la jeunesse.
Le signe chinois du chien et l’argent
Gagner de l’argent n’est pas l’obsession du « signe chinois du chien » et n’est pour lui qu’un moyen d’offrir ce qu’il y a de mieux pour les siens. L’argent ne lui confère ni sentiment de puissance ni de fierté. L’idée de manquer d’argent l’angoisse par rapport au confort qu’il souhaite donner aux siens, mais jamais il n’acceptera de renoncer à ses idées, ses convictions, sa morale pour gagner de l’argent.
Le signe chinois du chien et la santé
Le « signe chinois du chien » est résistant et a une constitution forte. Il tombe rarement malade, à condition qu’on le laisse vivre à son rythme. Car il est sujet au stress et a facilement les nerfs à fleur de peau.
La tradition astrologique chinoise attribue « au chien » une faiblesse des os, due surtout à un défaut de calcification. Il peut souffrir de troubles de l’ossature, de déformations articulaires, de sensibilité des genoux, de fortes tendances rhumatismales. Mais il est dur au mal et, intériorisé comme il l’est, il souffre généralement en silence.
Il n’attache pas toujours suffisamment d’importance à son alimentation. Il a tendance à manger une nourriture trop riche ou trop sucrée ou à manger bien trop peu. Il n’aime pas en général consulter un médecin, car il est assez laxiste sur les questions de santé, et n’aime pas forcément s’apitoyer sur son sort.
Le signe chinois du chien et son comportement amoureux
Côté cœur, « le chien » s’abandonne difficilement entièrement. Il a tendance à analyser ses élans, les freiner de peur d’être floué.
La solitude affective ne lui fait pas peur. Il parvient très bien à s’en accommoder et, parfois même, il la recherche. Il est vrai que peu de personnes ont grâce à ses yeux, tant vous êtes exigeant et épris d’absolu. De plus, il a beaucoup de mal à faire confiance, et s’assure que personne ne le trahisse.
Il n’a d’autant plus peur de s’engager qu’il est de tempérament fidèle et n’aime finalement pas beaucoup le changement dans ce domaine.
Il sait qu’une fois qu’il aura dit « oui », il ne reviendra pas en arrière, si ce n’est sans beaucoup d’efforts et de souffrances. Et puis, il a le goût du solide : il aime les habitudes, qui sont pour lui rassurantes.
Il a bien souvent du mal à extérioriser vos sentiments, à se laisser aller à la confiance, à s’abandonner. Mais, au fond de lui, il est un grand sentimental qui aime la tendresse, et qui, une fois ses défenses tombées, se montre affectueux, vigilant et présent ; mais toujours avec un peu de pudeur et de réserve.
Fidèle, sérieux, fiable, « le signe chinois du chien » a une morale et une certaine éthique de la vie, et souhaite trouver chez son partenaire des qualités semblables. Le « signe chinois du chien » aspire à construire une relation durable, susceptible de résister à l’épreuve du temps. Aussi souhaite-t-il avoir auprès de lui un conjoint solide, apte à l’épauler et à affronter à ses côtés les épreuves de la vie.
Si son amoureux ne possède pas ces qualités, il ne pourra pas lui faire confiance, encore moins l’admirer, et il sera donc incapable de l’aimer. Bref, son aspirant devra éviter de jouer les girouettes, les inconstants, et les irresponsables. Autrement son union risque de capoter !
Le partenaire idéal du chien
Un partenaire franc, chaleureux, affectueux, honnête. « Le rat » pourrait convenir. « Le tigre », aussi, d’autant que « le tigre » est aussi idéaliste que « le chien ». « Le lièvre » partage son esprit clanique, mais le lièvre comprend difficilement le besoin du chien de s’occuper d’autres que lui. Bien que « le buffle » soit stable et loyal, il n’est pas assez affectueux pour « le chien ».
Le chien d’eau
Ne vous méprenez pas sur l’extérieur trompeur de « ce chien d’eau». Plus que tous les autres chiens, il présente un aspect un peu froid, réservé, et même vaguement agressif, mais il est en réalité tout aussi chaleureux, affectueux et sensible qu’eux. La raideur relative de sa démarche et de ses manières n’est que la traduction de son manque d’assurance et de sa méfiance.
Il laisse cependant sa porte toujours ouverte, et si vous entrez chez lui avec de bonnes intentions il vous fera fête et vous n’aurez pas à vous plaindre.
Incapable de méchanceté et partisan de l’entente humaine, le natif souhaite régler tout conflit à l’amiable. Malheureusement, ses bonnes dispositions sont trop voyantes et incitent ses adversaires à l’intransigeance.
« Le chien d’eau » peut être un bon diplomate, mais un mauvais négociateur. Trop malléable et peu sûr de lui, il ne sait ni renchérir ni bluffer : il joue toujours cartes sur table. On pourrait dire qu’il est passablement naïf. Il garde la même attitude dans sa vie affective, ce qui lui attire parfois des chagrins sentimentaux qui auraient pu être évités s’il avait été un peu plus adroit.
Malgré les déboires que peuvent lui causer les autres, « le chien d’eau » est moins porté à l’amertume que ses frères. Chez lui, le sarcasme est une exception plutôt que la règle. Il sait toujours garder un côté bon enfant qui le rend vraiment sympathique. D’autre part, son esprit de sacrifice est bien développé, mais il doit se méfier de ses tendances masochistes.
« Le chien d’eau » aime passer inaperçu. Est-ce par vraie modestie ou par manque d’assurance ? Il ne cherche pas à briller bien que son intelligence soit vive et qu’il ait de réelles aptitudes. Il préfère beaucoup plus souvent écouter que parler.
Le chien de bois
« Le chien de bois » peut être tout ce qu’on veut, sauf négligent. C’est un perfectionniste de grand calibre. Pour lui, chaque problème abordé doit être résolu pour de bon, et chaque tâche entreprise doit être menée à bien dans le moindre détail.
« Le chien de bois » possède un flair stupéfiant pour détecter la mauvaise foi et les mauvaises intentions chez les gens. Cela le rend plus exigeant et plus enclin à critiquer, à telle enseigne qu’il se fait beaucoup d’ennemis, malgré ses réelles qualités de cœur.
« Le chien de bois » est remarquablement affectueux et accuse une tendance à la débonnaireté. Même s’il le voulait, il ne pourrait pas résister à l’envie de faire plaisir à ses parents, à ses amis et à l’autre sexe en les inondant de cadeaux et de prodigalités de toutes sortes. On n’a qu’à frapper, et il ouvre. On ne doit pas être sorcier pour prédire qu’il se laisse parfois exploiter par des gens peu scrupuleux. Son flair devient inopérant lorsque son cœur entre en scène.
Le confort matériel et les richesses ne le tentent guère : il ne les méprise pas, mais il garde naturellement une certaine distance, un certain détachement vis-à-vis d’eux ; et dans ces conditions, il ne prendrait pas le risque, pour les avoir, de compromettre son intégrité.
Sans être vraiment envahissant, « le chien de bois » s’occupe volontiers des affaires des autres et est toujours prêt à rendre les services les plus divers. Il est aussi d’ailleurs très dépendant des avis des autres.
Le chien de feu
« Le chien de feu » est, nous pouvons le deviner, le plus enthousiaste et le plus fougueux de toute la race. Cela implique certains points positifs, et aussi certaines faiblesses qui lui sont propres.
Ce chien est souvent victime de sa confiance excessive en la victoire finale des causes qu’il soutient. Bien sûr, la foi est nécessaire dans toute entreprise, et avec la foi on pourrait soulever les montagnes. Mais le natif est plus motivé que réaliste et plus énergique que prudent. Il refuse de tenir compte des limites que lui imposent sa nature et les circonstances.
Les obstacles que « le chien de feu » rencontre sur sa route n’ont généralement pas le pouvoir de le décourager et de le détourner de son but. Mais voyant que la plupart de ces obstacles viennent des gens qui manquent de bonne volonté et qui mettent des bâtons dans ses roues, il ne peut s’empêcher d’en être écœuré.
Ordinairement doté d’une vitalité remarquable, « le chien de feu » résiste très bien à la fatigue, ce qui lui permet de mener dix croisades à la fois. Il doit tout de même apprendre à ménager ses forces, car elles ne sont pas inépuisables.
On remarque chez le natif un sens de la moralité particulièrement rigoureux qui frôle souvent le puritanisme et le pharisaïsme. Cela ne devrait pas nous surprendre, puisque « ce chien » veut être à la hauteur de son idéal et se détacher nettement du commun des mortels qu’il critique et condamne.
Comme tous les autres chiens, « le chien de feu » est tendre et affectueux envers ceux qu’il aime. Mais les êtres qui lui sont les plus proches sont souvent les plus négligés, tellement il est occupé à résoudre les grands problèmes du monde.
Le chien de métal
Doué d’une belle intelligence, à la fois d’analyse et de synthèse, « le chien de métal » est capable de comprendre les problèmes les plus complexes et de trouver des solutions géniales. On a intérêt à solliciter ses conseils. Chaque organisme ferait bien d’inclure « un chien de métal » dans son groupe. Les qualités de chef lui font cependant défaut et il ferait mieux de rester toujours dans les coulisses, de jouer l’éminence grise et de tirer les ficelles.
La sociabilité est plus développée chez ce chien que chez ses frères du signe. Il attache une grande importance à ses relations avec les autres. Incapable de malice et de vengeance et relativement avare de critiques, c’est une personne attachante à bien des titres.
La curiosité d’esprit chez le natif est extraordinaire. Le « chien de métal » s’intéresse à tout, furète dans tous les coins et n’a pas peur de découvertes ou d’idées nouvelles. Il lui arrive souvent d’être dans l’embarras du choix des activités à poursuivre. L’importance de la profession qu’il choisit ne se mesure pas à son prestige ou à sa rentabilité, mais plutôt par l’apport des éléments susceptibles de satisfaire sa soif de connaissances et d’expériences.
Le « chien de métal », paradoxalement, souffre d’instabilité émotionnelle. L’ambiance dans laquelle il évolue a une grande emprise sur son comportement. En l’absence de conflits ou en joyeuse compagnie, il est gai, enjoué, mais lorsque quelque chose ne va pas ou que l’environnement est sans intérêt, il devient maussade, taciturne, ruminant mille idées pessimistes. Alors, aux sommets de l’insouciance succèdent les abîmes de l’angoisse.
Il serait difficile de résister à la tentation de dire que ce chien est un maniaque. Dans tout ce qu’il fait, il vise la perfection. Aucun détail, petit ou grand, ne devrait lui échapper. Il ferait volontiers des heures supplémentaires sans exiger de compensation et s’épuiserait sans regret pour faire de chacune de ses œuvres, un chef-d’œuvre.
Dans ses conversations ou ses actions, le « chien de métal » a du mal à aller droit au cœur du sujet, et se laisse entraîner irrésistiblement dans un récit de toutes les considérations ou encore il se retrouve à peaufiner le moindre détail.
le chien de terre
Alors que son idéalisme est aussi profond que celui de tout autre membre de sa race. « Le chien de terre » a le sens de la réalité, sachant parfaitement qu’il ne sera jamais possible de transformer le monde en paradis. Il fait tout ce qu’il peut, avec la meilleure volonté du monde, mais ne s’inquiète pas outre mesure du résultat de ses efforts ni ne s’en prend vigoureusement aux gens qu’il juge tout de même misérables.
« Le chien de terre » est par conséquent relativement calme. Il n’aboie qu’assez rarement, à bon escient, et ses critiques sont dépourvues de cette causticité mortelle familière au « chien de feu ».
« Le chien de terre » n’est pas très expansif. Qu’on ne se laisse pas tromper par son extérieur relativement froid et son air détaché, car c’est en réalité un être profondément chaleureux et humain. Sa réserve n’est qu’une manifestation de son extrême modestie et de sa pondération. On comprendra mieux son comportement si l’on sait qu’il n’aime pas la compétition, qu’il a horreur des feux de la rampe et qu’il préfère toujours la campagne paisible à la vie citadine déshumanisée.
Son cœur est orienté vers les autres. C’est dire que son altruisme n’est pas une manifestation passagère, mais fait partie intégrante de sa nature. Sa générosité n’a pas besoin d’être démontrée. Il oublie facilement les offenses qu’on lui fait. « Le chien de terre » est profondément attaché à la vie familiale.
Très attentif au détail, « le chien de terre » ne peut agir que selon un plan mûrement établi. Il n’y a pas lieu de nier son efficacité, mais il faut aussi noter sa tendance à la procrastination : il ne veut pas commencer à composer son puzzle tant qu’il n’a pas toutes les pièces en main.
Il a une remarquable conscience professionnelle, car c’est surtout à travers ses activités professionnelles qu’il entend se réaliser. Il aime plutôt les métiers où il faut payer de sa propre personne ou qui lui offrent de nombreux contacts avec les autres. Il s’intéresse à tout ce qui est humain, et particulièrement à tout ce qui est susceptible de rendre l’humanité plus heureuse.
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