Émotions, sentiments, astrologie et thème astral
En astrologie, il est possible de déceler des indices liés à nos émotions prévalentes : celles qui ont le plus de chance de pointer le bout de leur nez dans notre vie. Cependant, en astropsychologie, nous considérons qu’il est impossible de procéder à un diagnostic sur la seule base du thème natal. Un échange éclairant est nécessaire.
Les émotions et les affects : définition
Une émotion est un changement corporel face à un événement extérieur, un ressenti physique et la perception que nous avons de ce ressenti. L’émotion est ce qui nous met en mouvement comme le traduit l’origine latine du mot : emovere.
Une émotion est une réponse automatique et immédiate de l’organisme à un stimulus. À ce titre, l’émotion est instantanée, elle a lieu face à un événement donné, elle peut être agréable ou désagréable, passagère ou envahissante, douce ou amère. Il s’agit d’un marqueur somatique, qui influence nos comportements. Selon l’émotion ressentie, nous serons orientés vers l’approche ou vers la fuite, l’isolement ou le contact. L’émotion associe de manière intégrée et quasi simultanée :
- une dimension corporelle (ressentis provoqués par des contractions musculaires, des décharges hormonales) ;
- une dimension psychologique, avec un impact sur le bien-être (c’est cette dimension psychologique qui permet de donner son nom à l’émotion) ;
- une dimension expressive, avec l’expression du visage, les larmes, les mouvements du corps ;
- une dimension comportementale (action, retrait, vigilance, attente, agression, rire, stress, etc.).
L’émotion permet d’évaluer le caractère désirable ou non de nos décisions ou de nos projets d’action. L’expression des émotions, des sensations (excitation, satiété, plénitude, confusion, vide, bien-être, calme) et des sentiments (honte, jalousie, envie, culpabilité) est grandement dépendante des normes et des règles sociales de notre environnement.
L’émotion est généralement subie, y compris sur le plan comportemental ; l’autonomie consiste à en « faire quelque chose » d’utile. Les émotions et les sentiments ne doivent pas être refoulés, car elles constituent un système d’alerte sain lié à la survie et au bien-être qui nous guidera dans nos choix et nos décisions.
Lorsque nos parents ou notre primo-environnement (famille élargie, école, société) engament dans notre cerveau qu’il n’est pas souhaitable de ressentir telle ou telle émotion, notre système d’alerte est mis en défaut.
Nous ne pouvons plus alors décider et choisir correctement ce qui nous convient ou pas.
- j’aime ou je n’aime pas
- je me sens bien ou pas
- je suis en danger ou pas
- je suis en sécurité ou pas
- mes besoins sont satisfaits ou pas
- je suis alignée avec mes valeurs
- etc.
Nous parlons alors d’intelligence émotionnelle. Écouter ses émotions et percevoir celles des autres pour nous adapter intelligemment à notre environnement.
À force de conditionnements ou de situations répétitives négatives, certains vont même à éprouver de la joie alors que tout humain doté d’un système sain d’alertes émotionnelles ressentirait du dégoût, de la peur, de la colère ou de la tristesse. On parle alors de sentiments et d’émotions substitutives. L’inverse est tout aussi vrai. Là où nous devrions ressentir de la joie, la tristesse et la dépression nous enveloppent de leur chape de plomb.
D’autres encore ressentent la moindre émotion, mais ne sont pas capables de les exprimer et de les partager. Retournées contre soi puisque l’on n’arrive pas à les extérioriser, celles-ci viennent nous submerger de l’intérieur. L’individu est alors tenté de se couper de lui-même à moins qu’il apprenne à les extérioriser par le biais du coaching ou de la thérapie.
Les émotions de base ou primaires
Les psychologues reconnaissent généralement une liste de 6 émotions de base ou émotions primaires : la colère, la peur, la tristesse, la joie, le dégoût et la surprise. Il existe de nombreuses combinaisons de ces émotions face à chaque situation de notre vie.
Plusieurs émotions liées à des pensées particulières constituent des émotions secondaires. Les sentiments sont le plus généralement en lien avec les relations que nous vivons. Si l’émotion nous informe de la relation que nous avons avec notre environnement, les sentiments nous informent de la relation que nous entretenons avec d’autres personnes, importantes pour nous à ce moment.
D’autres auteurs proposent un modèle avec dix émotions de base :
Les émotions positives
- joie, intérêt et excitation, surprise
Les émotions négatives
- Tristesse, colère, dégoût, mépris, peur, honte, culpabilité.
Ils distinguent également, dans leur modèle, différents niveaux de l’émotion, allant de la rage à l’irritation pour la colère.
Chaque situation que nous vivons va donc pouvoir provoquer chez nous une émotion. Celle-ci pourra être très légère, une simple coloration de nos pensées ; ou plus importante nous amenant à des comportements qu’il ne nous semble pas pouvoir maîtriser (éclats de voix, évitement, repli sur nous-mêmes, rejet de notre interlocuteur, fâcheries et bouderies).
Liste des émotions primaires, secondaires et sentiments
Pour Antonio Damasio, nous sommes préprogrammés pour répondre de manière instinctive par une réaction émotionnelle à certains types de stimuli survenant dans le monde qui nous entoure ou à l’intérieur de nous-mêmes. Ces réactions automatiques sont inscrites dans nos schémas neuronaux et contribuent à notre survie, elles sont présentes chez tous les êtres vivants. Dans ce circuit court qui déclenche des émotions dites « primaires », la réaction est immédiate, la perception de l’émotion se fait après même le mouvement. Par exemple, lorsque vous vous retrouvez avec un animal face à vous, sur la route, vous avez de grande chance d’avoir un mouvement immédiat de freinage ou de changement de direction. C’est la perception qui domine. Ces émotions sont présentes chez le jeune enfant qui les manifeste pour traduire les besoins essentiels à sa survie.
Les émotions secondaires, en plus de l’immédiateté de la réponse, ont une durée plus longue. Elles semblent avoir pour base un processus de représentation de soi dans la relation. Ce sont des émotions sociales qui naissent et sont gérées lors des apprentissages sociaux, relationnels de l’enfant : « Les émotions sociales vont orienter vers un équilibre plus ou moins réussi entre la prise en compte du bien-être de soi-même et la prise en compte du bien-être d’autrui, ainsi que la prise en compte des attentes d’autrui en ce qui concerne notre comportement à son égard ». C’est la représentation qui domine, l’idée que nous nous faisons de la chose. L’émotion secondaire naît de la représentation.
Je vois une personne rire en me regardant, je m’imagine qu’elle se fiche de moi (représentation : en fait je n’en sais rien) et je ressens subitement de la honte ou de la colère.
La plupart des émotions que nous avons à traiter dans le coaching sont générées par des processus de représentation. Leur régulation demande un apprentissage. Dans ce modèle, la honte est une émotion. Les émotions d’arrière-plan conduisent à nos états d’âme, nous pouvons de manière durable, sans lien direct avec des événements nous sentir irritables, disponibles, tendus, soucieux.
Les sentiments viennent de la relation, ils sont directement en lien avec une autre personne (admiration, jalousie). Dans ces modèles, la différence entre émotions secondaires et sentiments est complexe. Nous retiendrons que le sentiment est un état émotionnel plus durable, présentant quelquefois des émotions mélangées et soutenues par une pensée spécifique sur la situation, en lien avec nos histoires de vie.
La honte
La honte est le sentiment lié au rejet que nous provoquons lorsque nous montrons un comportement désapprouvé par notre entourage réel (la personne en face de nous) ou internalisé. Nous nous sentons alors inférieurs aux autres.
La culpabilité
La culpabilité est le sentiment lié à l’impression d’avoir fait du mal, d’avoir enfreint un tabou, d’avoir un désir interdit, d’avoir commis une faute, qu’elle soit réelle ou supposée.
La culpabilité n’est pas à confondre avec la honte. La première renvoie à l’idée de faute, alors que la seconde est liée à un sentiment d’infériorité.
La jalousie
La jalousie est un sentiment complexe comportant des émotions de peur, de colère, de tristesse, en lien avec la dépréciation de soi et l’insécurité. La jalousie survient lorsque le lien avec une personne importante pour nous semble remis en cause par d’autres liens de celle-ci.
La peur
La peur est l’émotion ressentie lorsque nous percevons, anticipons ou imaginons un danger ou une menace, un risque d’atteinte à notre sécurité personnelle. Sa fonction est d’amplifier les réactions adaptatives (fuite, combat, immobilisation) face à un danger réel.
La colère
Lorsque nous identifions une menace, un risque de dommage (réel ou fantasmé) sur l’un de nos territoires nous ressentons de la colère. Il faut entendre ici le territoire au sens large, comprenant notre corps, nos cinq sens, le temps dont nous disposons, notre famille, nos possessions, nos amis, nos valeurs, nos besoins, nos désirs, nos intentions, nos satisfactions. Ce que nous percevons comme un envahissement, le dépassement d’une limite, une atteinte à un territoire, comme le bruit d’un collègue qui crie au téléphone lorsque nous cherchons à nous concentrer, peut nous mettre fortement en colère. La colère signale que quelque chose d’important pour nous est remis en cause et ne sera pas satisfait. La colère nous permet de garder notre intégrité.
Tristesse, repli sur soi et dépression
La tristesse est l’émotion ressentie lorsque nous percevons, ressentons ou imaginons une perte définitive. C’est le résultat d’une pensée répétitive envers un objet perdu (entendez par là une personne, une situation, un espoir, etc). Sa fonction est de favoriser l’acceptation de la perte, l’acceptation de ce qui n’est pas en notre pouvoir de changer.
La tristesse gérée nous conduira à l’acceptation de la situation telle qu’elle se présente maintenant, et à une possibilité d’attachement avec un nouvel objet (personne, projet, situation, activité…). C’est une émotion de l’attachement au passé. Mais l’acceptation de la perte peut prendre du temps.
La tristesse conduit alors à un état d’inaction qui se produit dès lors que la personne a accepté l’idée de la perte. Le vécu affectif est d’autant plus fort que la perte et le manque sont considérables pour la personne, pour son échelle de valeurs, ses espoirs, ses relations.
Dans la tristesse, il y a une part d’incommunicable : je ne sais pas toujours exprimer ce qui est touché lorsque je suis triste. Sur le plan des perceptions physiques, la tristesse amène un ralentissement de l’activité, une atonie et un phénomène global de repli sur soi ou une dépression. La tristesse nous amène à nous sentir vulnérables, déstabilisés, quelquefois sans désir et sans espoir. Le risque est alors de quitter le lien avec les autres, avec le groupe, avec la société, pour nous retrouver seuls face à nous-mêmes, dans la rumination de la perte. Nous avons moins d’énergie, d’allant, moins d’envie de parler, d’être en relation.
Émotions positives : Enthousiasme, joie et fierté
La joie est une émotion positive ressentie lors de l’expérience ou de l’anticipation d’un événement positif qui permet à la fois de satisfaire ses besoins ou ses désirs, et d’être en accord avec ses valeurs, ses intentions, ses objectifs.
La joie est une émotion essentielle, liée au bien-être, elle traduit dans notre corps l’amour que nous avons de l’existence, notre engagement dans la vie. Elle met en jeu notre sensorialité, notre créativité, notre engagement dans l’action.
Elle prend appui sur la curiosité que nous montrons pour comprendre le monde, pour la rencontre, le sentiment amical ou amoureux, la coopération, notre recherche d’intimité. Elle prend des formes multiples (satisfaction, plaisir, réussite, bien-être, sérénité, gratitude, fierté) qui vont chacune contribuer à notre motivation, au développement de l’estime de nous-mêmes et à notre vécu de bonheur, notre vécu d’une vie créative, enrichissante, stimulante.
La joie est aussi l’émotion qui accompagne la rencontre, l’échange profond et l’intimité. La joie est partage. La joie est aussi l’émotion qui provient de notre rencontre avec la beauté. La joie est alors plus solitaire, avec en plus le désir de maintenir l’état obtenu. Une belle pièce de musique, un beau tableau, va stimuler nos sens et nous entraîner vers la joie.
La joie libère de l’énergie, elle permet de partager avec les autres notre satisfaction, notre plaisir, notre enthousiasme. Elle contribue lorsqu’elle est accueillie à renforcer le lien entre les personnes. Mais la joie n’est pas toujours communicable, les sources de joie sont personnelles. Chacun ayant son propre système de valeur, la joie qui m’est partagée ne m’est pas toujours familière.
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