Naissance du sentiment de culpabilisation
Le sentiment de culpabilité naît en faisant croire à l’enfant, par des phrases maladroitement formulées, qu’il a le pouvoir de nous rendre malheureux. Ainsi nous lui préparons le berceau de la culpabilité morbide
En effet, culpabiliser quelqu’un, c’est un moyen de garder le contrôle sur lui, et ceci en particulier avec les enfants. Nous avons déjà vu que certains religieux avaient utilisé la culpabilisation comme moyen d’influence et de soumission. Il en va de même dans l’éducation.
Comment faire obéir un enfant ? Lui expliquer, le gronder, le menacer, le punir… et après ? Le culpabiliser ! C’est-à-dire utiliser sa compassion naturelle et lui faire croire qu’il est la cause de notre mal-être. Redoutable.
Pour certains parents, la culpabilisation fait bien partie d’un projet éducatif, même si celui-ci n’est pas conscient. Difficile pourtant de voir en quoi la culpabilisation permet d’élever les enfants, dans le sens de les faire grandir, de les mettre debout.
Du sentiment de culpabilité à la manipulation
Un enfant éduqué à grands coups de culpabilisation développe une sensibilité particulière à la culpabilité. Il devient plus facilement manipulable… et meilleur manipulateur.
En effet, comme il connaît bien ce moyen d’influence pour y avoir été souvent confronté, il y a de fortes chances qu’il l’utilise lui-même pour asseoir son pouvoir sur les autres. Ne voyons pas de déterminisme psychologique en cela (un enfant battu ne devient pas forcément un adulte violent) ni ne devient assoiffé de vengeance.
Non, la simple imitation suffit : l’enfant ne se rend pas compte de la portée néfaste de la culpabilisation utilisée par ses parents. Pour lui, leur façon de procéder est normale, d’autant plus qu’elle se retrouve dans beaucoup d’autres familles et qu’elle est cautionnée par certaines valeurs religieuses. L’enfant n’a donc aucune raison de ne pas imiter ses parents dans cette pratique.
Le meilleur moyen pour rendre un enfant manipulateur est de le culpabiliser.C’est ainsi que l’on voit apparaître des lignées familiales entières ancrées dans la culpabilité. Ceux qui ont été culpabilisés par leurs parents culpabilisent à leur tour leurs enfants. La culpabilisation est une maladie hautement contagieuse.
Vouloir contrôler et culpabiliser pour obtenir ce que l’on veut
La culpabilisation est un moyen d’avoir du pouvoir sur les autres. C’est dire que les personnes souffrant d’un « caractère coupable » sont souvent des gens de pouvoir. Une personne de pouvoir (au sens relationnel) est une personne qui aime avoir de l’influence, du pouvoir sur les autres.
Elle essaie de leur imposer ses préférences, ses choix, ses idées, ses valeurs plutôt que de les laisser libres. Elle use, selon les cas, de persuasion, de séduction, de manipulation. Il lui faut avoir un certain contrôle sur les autres et les événements. Affirmer que les personnes qui éprouvent beaucoup de culpabilité morbide sont des gens de pouvoir est par ailleurs très cohérent avec notre hypothèse centrale :
la culpabilité est la face cachée de la toute-puissance, c’est-à-dire du pouvoir poussé à son paroxysme.
Inversement, les gens qui entrent en relation avec les autres sur le mode du pouvoir sont souvent assaillis par des sentiments de culpabilité. La raison en est simple. Comme ils usent d’influence pour obtenir ce qu’ils souhaitent, ils empiètent sur le libre arbitre des autres. Ils doivent donc partiellement assumer la responsabilité des choix qu’ils leur « imposent » de force ou à leur insu.
Prenons un exemple : vous proposez à un ami de vous accompagner en balade. Celui-ci décline l’offre. Comme vous ne vous voyez pas y aller tout seul, vous insistez et utilisez quelques armes de persuasion : « Allez, cela va te faire du bien de te changer les idées ! ». Si cela ne suffit pas, vous sortez l’artillerie lourde et vous culpabilisez votre ami : « Tu ne peux pas me faire ça ! Rappelle-toi combien de fois je t’ai déjà accompagné alors que cela ne m’intéressait pas. » Devant cet argument massue, il craque et vous accompagne. Mais le temps vire au maussade. À la fin, votre ami se plaint d’avoir passé une mauvaise journée. Il y a fort à parier que vous allez être tenaillé par la culpabilité à ce moment-là, surtout quand l’ami lâchera : « Je savais bien que je n’aurais pas dû t’écouter. Je ne la sentais pas cette balade… »
Par contre, vous n’auriez ressenti aucune culpabilité si l’ami en question avait eu spontanément envie de vous accompagner. C’est bien votre insistance destinée à le faire plier qui est à l’origine de votre mauvaise conscience.
Culpabilité et manipulation
Certaines personnes utilisent la culpabilisation pour obtenir ce qu’elles souhaitent de la part d’autrui : elles entrent dans la catégorie des manipulateurs. En effet, les manipulateurs ne se cachent pas uniquement derrière le masque du gourou charismatique, du politicien démagogue, du publicitaire retors ou du commercial agressif, mais derrière chacun d’entre nous.
La manipulation se définit par l’utilisation de moyens détournés pour obtenir quelque chose de la part d’une autre personne, ce quelque chose pouvant être un acte, une pensée ou une émotion.
Ainsi l’œuvre caritative qui récolte des fonds pour les enfants défavorisés d’une région du tiers-monde et qui utilise pour cela des photos de bébés malades et mourants. La fin est honorable, par contre le moyen est détourné, à savoir le recours à la pitié des donateurs potentiels. But : obtenir des fonds ; moyen : susciter la pitié ; donc : manipulation.
Culpabiliser pour régner
Parmi les méthodes de manipulation, la culpabilisation est sans conteste l’une des plus efficaces. Elle consiste à faire naître un sentiment de culpabilité chez autrui. Pour obtenir quelque chose que la personne visée nous refuse, nous pouvons la culpabiliser afin de la faire flancher.
Exemple : une mère demande à sa fille de 14 ans de rentrer pour minuit maximum.
- La fille rechigne, dit que toutes ses copines peuvent rentrer plus tard (un classique : quel mauvais parent, comparé aux autres !) - (notez la tentative de culpabilisation de la jeune fille : tu n’es pas aussi bonne mère que les autres mamans).
- À bout d’arguments, la mère en vient à la culpabilisation : « Après tout, fais ce que tu veux. Mais surtout, tu ne viendras pas te plaindre lorsqu’il te sera arrivé quelque chose de grave ! »
La mère insinue que s’il arrive quelque chose à sa fille, cette dernière en sera responsable à cause de sa sortie tardive.
Autre exemple : la personne qui vient vous demander un service, lorsque vous n’avez ni l’envie ni le temps. Devant votre refus, elle lance : « La dernière fois, je n’ai pas hésité à t’aider, moi ! » Pour culpabiliser quelqu’un, il suffit de l’amener à se sentir fautif.
La personne sous-entend que vous vous rendez fautif de ne pas obéir à la règle de réciprocité.
Le but est évident : celui qui se sent coupable a une tendance naturelle à vouloir réparer sa faute. Ici :
- accepter de laisser sa fille sortir pour être une bonne mère
- la jeune fille accepte de rentrer à l’heure pour ne pas être responsable d’un éventuel problème
Mais on trouve aussi des cas où le but est différent : simplement asseoir son pouvoir sur les autres, pour le plaisir de dominer et de faire de l’autre un pantin :le manipulateur va pousser l’autre à se :
- sentir mal à l’aise
- triste
- en colère
- honteux
- faible
- bouleversé émotionnellement
- privé de ses besoins primaires (sécurité, besoin d’être aimé, etc.)
afin de le fragiliser et se sentir soi-même plus fort. Essayer de rendre mal à l’aise autrui est une façon d’avoir du pouvoir sur lui ; c’est avoir un ascendant sur son humeur ou ses émotions.
La culpabilisation est l’arme de prédilection des manipulateurs.
Une autre façon d’exercer son pouvoir sur autrui, c’est d’arriver à imposer sa propre interprétation des événements ou de la vie.
Imposer son point de vue
- Le conjoint : « Vas-y, sors, si tu penses que tes amis sont plus importants que moi ! »
- Le parent : « Quel ingrat ! Et où sont tes amis, lorsque tu as besoin d’argent ? »
- Le parent : « Je ne comprends pas que tu puisses vivre comme ça » : entendez « j’aimerais que tu vives comme moi »
Dans ces exemples, on voit bien que l’enjeu de la culpabilisation est l’imposition de sa propre vision des choses aux autres ; une façon redoutable d’exercer son pouvoir sur eux : « je suis plus important que tes amis et j’aimerais que tu sois d’accord avec cela »
Cacher ce que l’on estime être de faiblesse
La culpabilisation peut masquer une émotion que l’on n’a pas osé exprimer, car on souhaite montrer une image de soi impeccable.
Exemple : Ainsi, la mère qui gronde son fils : « On ne peut pas te faire confiance ! Tu sais très bien qu’il ne faut pas t’éloigner. On dirait que tu le fais exprès. » Plutôt que d’avouer sa peur : « J’ai tellement peur qu’il t’arrive un quelque chose et que je ne puisse pas intervenir à temps ».
Se décharger de ses responsabilités
Une dernière utilisation de la culpabilisation consiste à se décharger de sa responsabilité sur autrui. Tout, plutôt que de s’abaisser à reconnaître sa faute !
Exemple : le conjoint qui perd ses clés pour énième fois. « C’est normal que je ne les retrouve pas, tu ne ranges jamais rien, c’est le chantier ici ».
Exemple : L’abuseur au tribunal : « Je l’ai violée (insultée, etc.) parce qu’elle m’a provoqué. Elle ne cherchait que ça ! », « Elle n’arrêtait pas de se promener à moitié nue devant moi. », « Ces tenues sexy, dis-moi que ce n’est pas pour allumer les hommes ! »
Est-ce une façon d’échapper à leur mauvaise conscience que de mettre la responsabilité de leurs actes sur le dos des victimes ?
Le pouvoir du manipulateur / culpabilisateur bien relatif
La culpabilisation entre dans la catégorie des jeux de pouvoir. Il est important de se rappeler que le pouvoir est toujours relatif ou relationnel. Il n’apparaît que dans l’interaction entre plusieurs individus. Seul, pas de pouvoir !
Seuls, nous ne pouvons séduire quiconque. De même, face à quelqu’un qui refuse de se laisser séduire, notre charme n’a plus aucun pouvoir. En ce qui concerne la manipulation, il en va de même, il faut être deux. Si l’un refuse le jeu de l’autre, il n’y a plus ni manipulation ni culpabilisation.
Il ne s’agit pas non plus ici de vous culpabiliser. Mais de vous faire comprendre que si une personne nous manipule c’est parce qu’elle use de notre capacité à nous laisser manipuler comme nous tous, par nos émotions et nos besoins. En prendre conscience est un premier pas. La plupart du temps, « le manipulé » n’en a pas conscience.
Personne ne peut nous culpabiliser si ce n’est nous-mêmes. Nous ne pouvons nous sentir coupables qu’à la seule condition d’accepter l’idée que nous sommes responsables d’une quelconque faute. C’est nous seuls qui entretenons ces idées dans notre esprit. Nous avons le pouvoir de nous culpabiliser, mais, parfois, nous acceptons de céder ce pouvoir à autrui.
Comme tout ceci se passe la plupart du temps à notre insu, on peut parler d’automanipulation. La capacité que nous détenons de nous culpabiliser ouvre la porte aux manipulateurs. C’est ce qui leur permet d’avoir une emprise sur nous, ou du moins l’influence que nous leur laissons avoir sur nous.
L’exemple des parents qui se sentent coupables d’avoir divorcé et de priver leurs enfants d’une cellule familiale « normale » est parlant. Pour atténuer leur mauvaise conscience, ils vont chacun de leur côté gâter les enfants, leur passer certains comportements sanctionnés dans d’autres circonstances. Pire encore pour le parent qui a privé l’autre de son enfant.
Manipulation et justification
Le signal qui permet aux manipulateurs de prévoir qu’il aura du pouvoir sur quelqu’un est la justification. En effet, seul celui qui s’estime en faute se justifie, ce qui trahit sa culpabilité latente. La mère qui dit à son enfant qu’elle aimerait bien lui acheter le jouet qu’il souhaite, mais qu’elle n’en a pas les moyens se verra confrontée à l’insistance répétée de l’enfant.
La justification montre le malaise de celui qui y a recours, malaise généralement dû au fait de devoir dire non.
« Ça ne se fait pas de dire non, c’est malpoli ! » disaient nos parents !
Plutôt que de refuser clairement, nous cherchons des excuses pour justifier notre refus. Les manipulateurs ont alors tout loisir d’exploiter ces hésitations et les retourner à leur avantage.
Se justifier revient à avouer une faute. Cependant, la frontière entre les explications et la justification n’est pas toujours facilement discernable.
Le paradoxe, c’est que l’on se justifie justement pour atténuer la culpabilité que l’on ressent à devoir dire non. En conséquence, on se fait culpabiliser en essayant de se déculpabiliser d’avoir refusé quelque chose.
Victimat : une autre forme de manipulation / culpabilisation
- « Je me suis sacrifié pour toi »
- « Après tout ce que j’ai fait pour toi, tu pourrais quand même… »
- « Voilà à quoi ça sert de faire attention aux autres »
Ces phrases culpabilisatrices ont la particularité de présenter celui qui les exprime comme une pauvre victime : faible, démunie, exploitée par les autres qui endossent le mauvais rôle. Ceux-ci deviennent coupables d’avoir mal agi à leur encontre, eux qui n’ont rien à se reprocher.
Exemple : une mère qui élève seule ses enfants et qui exige d’eux une obéissance exemplaire : « Vous croyez que c’est facile de travailler toute la journée ? C’est pour vous que je fais ça. Alors, soyez sages… »
Le but du jeu de la victime est de faire naître la pitié chez les autres pour obtenir ce qui est désiré. C’est bien elle qui dispose en réalité du pouvoir. Sa prétendue faiblesse n’est qu’un alibi pour influencer autrui. Personne n’aime montrer sa faiblesse. Si quelqu’un le fait par trop ouvertement, c’est qu’il prévoit en retirer un avantage ultérieurement.
Bien que j’aime à dire que la vraie force est d’assumer ses faiblesses et savoir se les avouer. Mais dans ce cas, la personne va travailler sur elles.
Par exemple, le conjoint qui se dénigre : « Mais quel imbécile je suis ! J’ai encore bousillé le carrelage avec ce produit. J’aurais dû le nettoyer comme tu me l’as sagement conseillé. Mais tu sais, j’étais tellement fatigué, avec tous ses rendez-vous. Heureusement, toi, tu sais comment faire… »
Processus : dévalorisation => flatterie => demande implicite de faire les choses à sa place.
Prédisposition à la prédisposition / culpabilisation dans un thème astral
Manipulation, culpabilisation et besoin de contrôle sur l’autre
Une personne cherche à culpabiliser afin d’obtenir le contrôle sur l’autre. Que ce soit pour :
- avoir un ascendant sur ses émotions
Il faut donc en premier souhaiter consciemment ou inconsciemment reprendre le contrôle que l’on n’a pas eu (ou que l’on pense ne pas avoir eu) sur soi-même. Une prédisposition au sentiment d’impuissance est souvent marquée par :
- un aspect « mars Neptune » (affirmation de soi brouillée et diluée)
- un aspect « soleil Neptune » (sentiment d’un moi brouillé et dilué)
- un aspect « mars Saturne » (affirmation de soi limitée)
- un aspect « soleil Saturne » (sentiment d’un moi limité)
- un aspect « mars Pluton » (je place mes pions de manière cachée ou détournée)
Attention, les aspects sus-cités ne sont pas obligatoirement synonymes de manipulation. Ils peuvent tout aussi bien produire des comportements lumineux.
Manipulation, culpabilisation et narcissisme
Le manipulateur est essentiellement tourné vers lui-même, ainsi :
- un fort accent sur le signe du lion (expression du moi)
- un fort accent sur la maison 5
- un fort accent sur le signe du Sagittaire (je vaux mieux que les autres)
- un fort accent sur la maison 9
- et pour finir un fort accent sur le signe du bélier ou la maison 1
Sont des indices sur la prédisposition au narcissisme.
Attention, les configurations sus-citées ne sont pas obligatoirement synonymes de narcissisme. Ils peuvent tout aussi bien produire des comportements lumineux.
Manipulation, culpabilisation et difficultés d’attachement
Le manipulateur ne sait pas s’attacher aux autres, il a juste besoin d’eux. Quand on parle d’attachement et d’intimité, il faut regarder attentivement deux planètes : la lune en premier lieu, puis Vénus.
- un aspect « Lune Pluton » : la personne est prédisposée à ressentir profondément en elle, toutes sortes d’émotions bouleversantes et vécues comme une menace toujours latente. Ainsi elle peut, selon son vécu, choisir de se couper de ses émotions et sentiments.
- un aspect « Lune Uranus » : la personne est prédisposée à intellectualiser (prendre de la hauteur) ses émotions au lieu de les vivre, elle peut donc être incapable ou peu capable de les identifier chez les autres. C’est aussi un indice de ressenti de distance avec la mère dans l’enfance (présupposé ou réel). Or la mère est en premier lieu celle qui offre de l’amour et qui nous prépare à le ressentir en nous et ensuite à l’offrir.
- un aspect « Lune Neptune » : la personne marquée par cet aspect peut ressentir en elle le besoin de fusionner et d’être prise en charge. Si elle ne l’obtient pas, elle en arrive à manipuler (souvent en jouant les victimes) afin d’exercer son contrôle sur ses proches.
- Un aspect « Vénus Pluton » peut amener un sentiment de menace latente dans la relation intime : peur que cela se finisse, jalousie, exclusivité, etc. La personne peut-être amenée à vouloir prendre le contrôle sur l’autre afin que cela n’arrive pas.
Attention, les configurations sus-citées ne sont pas obligatoirement synonymes de difficultés à l’attachement sain. Ils peuvent tout aussi bien produire des comportements lumineux.
Manipulation, culpabilisation et manque de remords
Le propre du manipulateur est le manque de remords. Vous lui importez peu, ce qui compte pour lui est d’obtenir ce qu’il souhaite. Que vous soyez ruinée, blessée psychologiquement ou que vous ayez vécu tout autre traumatisme, il s’en fiche.
Le remords, le sentiment de faute vis-à-vis de l’autrese construit à la période dite « anale » ou la période dite de « l’apprentissage des interdits » et de la socialisation. En règle générale, on observe Saturne, Jupiter, le signe de la vierge afin de déterminer si la personne a un certain sens de la morale.
Un accent sur mars, Jupiter, le lion, le bélier peuvent, d’une part, indiquer de l’orgueil et donc un sentiment de mériter de passer avant l’autre, et de l’autre, de ne pas savoir reconnaître ses torts. Pire encore ne même pas envisager que l’on a commis une faute envers autrui.
Il est aussi nécessaire de regarder les aspects de la lune. Une personne avec une lune blessée par Saturne, Pluton ou encore Chiron n’a pas appris ou réussi à identifier et respecter ses besoins. Il est donc possible dans certains cas qu’elle ne sache pas respecter ceux des autres non plus.
Nous pouvons aussi regarder Mars et Jupiter (sens de la compétition). Un mars trop fort exacerbe le sens de la compétition et donc le sentiment du « tout est bon pour vaincre ».
Attention, les configurations sus-citées ne sont pas obligatoirement synonymes de difficultés à éprouver du remords. Ils peuvent tout aussi bien produire des comportements lumineux.
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