La jalousie : introduction
Cet article n’a pour objet que la jalousie dite « non fondée » et qui a pour origine un profond sentiment d’insécurité, de mésestime de soi et de vide en soi. Elle ne concerne pas les personnes, hommes ou femmes qui ont été réellement trompés, causant ainsi un tsunami de douleurs et de colère que l’on peut qualifier de légitime tant qu’elles ne s’enracinent pas de manière durable.
Les origines de la jalousie
l’enfant de 0 à 6 mois
L’univers intra-utérin est classiquement qualifié de fusionnel ou de symbiotique par les psychanalystes. Le fœtus et la mère ne font qu’un. La naissance a lieu dans une séparation fondamentale. Dans les tout premiers temps de son existence, le nourrisson continue de considérer sa mère comme une partie de lui-même et ne dissocie pas vraiment le dehors du dedans, le Moi du non-moi.
Les conséquences psychologiques proviennent du fait que chacun d’entre nous est marqué par cette fusion, et qu’elle est inscrite dans notre chair et dans notre inconscient. Vécue comme paradisiaque, le sujet tente de récréer inconsciemment, bien sûr — cette symbiose. Dans ses relations affectives, il cherche à ressentir de nouveau cette sensation de n’être qu’un, de tout partager, de dépendance heureuse.
Bon nombre de problèmes de communication viennent de l’inexorable échec d’une relation symbiotique irréalisable entre deux êtres humains, en dehors justement de la gestation.
Jusqu’à 3 mois, le bébé considère sa mère comme la continuité de son propre corps. La fusion explique aussi l’incapacité du nourrisson à tolérer une absence ou une frustration trop longue. La séparation d’avec la mère est vécue comme une amputation, comme si le bébé était privé d’une partie de lui-même.
Les bébés ont cruellement besoin d’être le premier et unique centre d’attention de leurs parents et notamment de la mère ou d’un substitut maternel pour construire un psychisme sein, sentiment de sécurité et confiance en eux.
Ainsi, dans la phase de dépendance absolue, la mère doit constituer un élément permanent, sûr et fiable. Seule une adaptation, quantitativement et qualitativement, presque parfaite, génère la confiance. Le bébé, affectivement sécurisé, peut progressivement affronter la réalité extérieure et évoluer vers une dépendance sans peur de perdre sa mère ou se perdre. C’est la confiance que le bébé a en sa mère (et par conséquent en lui-même) qui détermine son évolution psychique et affective.
Pour Winnicott, « C’est la confiance du bébé en la fiabilité de la mère, et à partir de là, dans celle d’autres personnes et d’autres choses, qui rend possible le mouvement de séparation entre le moi et le non-moi. »
Pour le jaloux pathologique, l’autre n’a d’importance que dans la mesure où il ne porte son attention que sur lui-même. L’autre devient le pourvoyeur de lait affectif se substituant ainsi à ses parents qui aurait dû lui octroyer chaleur, amour, sécurité, reconnaissance et complétude.
La jalousie est donc en quelque sorte réduire l’autre à un bien qui m’appartient, que je possède. Cela s’accompagne de la peur de perdre, d’un manque de confiance en soi, qui créent le sentiment d’être en danger.
Certaines mères sont ambivalentes, tantôt très attentionnées, tantôt distantes, ce qui crée un sentiment d’insécurité et d’angoisse profond et une difficulté à faire confiance en celle qui prend soin de nous. Ce manque de confiance ancrée se répercute sur nos futures relations adultes avec cette impression : « je ne peux faire confiance en personne » ou encore le choix d’un partenaire qui joue sur le même registre ou encore quelque chose en nous qui nous dit que l’attention (tendresse) du partenaire envers nous ne peut pas et ne va pas durer.
Dangers liés à cette phase et en rapport avec la jalousie de l’adulte :
je serai toujours abandonné, je ne suis pas important, rien ne peut me satisfaire
insécurité, angoisses destructrices liées à la séparation, peur de l’abandon, rage et colère, vouloir en permanence que l’autre soit le pourvoyeur constant de nos besoins et se sentir en colère quand il ne le fait pas
L’enfant de 6 mois à 1 an
À partir de six mois, les besoins psychoaffectifs de l’enfant changent. Suffisamment sécurisé, il est porté à explorer l’environnement. Il commence à établir les limites entre le Moi (sa vie intérieure) et le non-moi (la réalité objective). Au cours de cette phase, qui va de cinq ou six mois à un an environ, le bébé se « sépare » progressivement de sa mère, c’est-à-dire qu’il devient capable de supporter, sans être détruit, les attentes, les séparations ou les absences, à condition qu’elles ne soient pas trop prolongées.
S’il est préjudiciable pour le bébé que sa mère ne respecte pas la phase de dépendance absolue (0 à 6 mois pour sécuriser l’enfant), il est tout aussi dangereux, pour son équilibre psychique, qu’elle n’introduise pas la désillusion lors de la phase de dépendance relative. La mère qui n’est pas capable à ce moment-là d’opérer un retrait partiel empêche son bébé d’évoluer vers l’indépendance et le maintient dans la phase précédente.
Savoir désillusionner l’enfant, au sens où l’entend Winnicott, c’est justement l’amener progressivement à accepter de différer ses besoins, à s’ouvrir sur le monde, à sortir de la fusion et de sentiment de toute puissance : « je veux et maman me donne immédiatement, ».
C’est également au cours de cette phase que se constitue le « MOI ». Si la mère remplit convenablement son rôle, le bébé devient capable de se reconnaître comme une entité psychologique distincte, c’est-à-dire comme un individu. Ce phénomène s’appelle le processus d’individuation.
Mélanie Klein attribue aussi à cette période la capacité de l’enfant à sortir du clivage « bon sein » et « mauvais sein ». L’enfant est alors capable si tout s’est bien passé de reconnaître que sa mère peut être à la fois bonne (maman me satisfait) et mauvaise (maman me fait attendre). Ce qui a ensuite une énorme incidence dont nous regardons les personnes ensuite dans notre vie d’adulte et particulièrement ceux prédisposés à la jalousie (il ou elle n’est pas entièrement à moi, c’est une personne mauvaise qui me veut du mal).
Dangers liés à cette phase et en rapport avec la jalousie de l’adulte :
tout seul, je ne peux pas
dépendance affective, sentiment de toute-puissance (je veux et l’autre doit me le donner), moi faible
de 1 an à 3 ans : l’indépendance
Si les deux phases précédentes ont été bien menées, le bébé, à partir de douze mois, parvient à une relative indépendance. Il accède à la capacité d’être seul. Il peut, sans éprouver de peur ou de culpabilité, partir à la découverte du monde. Se sentant affectivement sécurisé, il est confiant et plus à l’aise pour s’ouvrir socialement.
La période anale, sadico-anale sont des phases du développement de l’enfant qui permettent à l’enfant de continuer à s’individuer, d’affirmer son pouvoir personnel et de forger une identité de plus en plus séparée de celle de ses parents et de gagner en autonomie.
Dangers liés à cette phase et en rapport avec la jalousie de l’adulte : ne pas avoir commencé à apprendre à être seul et indépendant et donc avoir toujours besoin de quelqu’un à ses côtés pour se sentir rassuré, la confiance en soi ne se construit pas
la période œdipienne
À mesure que l’enfant grandit, sa mère « suffisamment bonne » va favoriser son autonomisation en étant dans une distance relationnelle adéquate : ni dans le collage ni dans la distance excessive.
Un tiers — la figure paternelle — aura de plus en plus de place dans l’esprit de l’enfant.
La mère n’est plus perçue comme source de gratification immédiate et l’enfant accepte d’être confronté au manque, inhérent à toute relation humaine. La possibilité de nouer des relations où l’autre est perçu comme différent est liée à cette distance adéquate à la reconnaissance du tiers, à la renonciation possible aux satisfactions immédiates et à l’acceptation du manque comme donnée inévitable de toute relation.
L’issue du conflit œdipien est capitale pour la structure générale de la personnalité. Plus spécifiquement, de la résolution de la situation œdipienne dépend la capacité, une fois devenu adulte, de construire des relations affectives affranchies de cette situation conflictuelle originelle.
La période œdipienne est aussi une période où le sentiment de jalousie est exacerbé. L’enfant souhaite être l’objet d’amour exclusif du parent du sexe opposé et ressent fortement la notion de perte, d’abandon et de frustration quand il s’aperçoit que cela ne sera pas le cas. Chez la plupart des enfants, la période œdipienne se résout d’elle-même sans problèmes quand d’autres restent affectivement fixés à cette période s’autonourrissant de sentiment d’exclusion, de rejet, d’abandon et de dévalorisation.
Par ailleurs au cours de cette période, l’enfant intègre de mieux en mieux, non seulement les interdits, mais aussi la réalité du non « moi ». J’ai des désirs et des besoins, mais l’autre en éprouve également et ce qu’il veut n’est pas forcément ce que je veux. Je veux être respecté, mais l’autre aussi. Il intègre progressivement la notion de frontières et d’altérité. Ce n’est pas parce que l’autre me refuse une chose (et il en a le droit) que je ne suis pas aimé.
Dangers liés à cette phase et en rapport avec la jalousie de l’adulte :
Quelque chose cloche chez moi,
sentiment qu’un autre sera toujours préféré, sentiment de ne pas être « aimable », de ne rien avoir pour soi qui puisse séduire l’autre ou au contraire vouloir toujours être adulé
les rivalités fraternelles
Les rivalités fraternelles sont un autre terreau très fertile pour les futures jalousies adultes. Les inégalités, des préférences latentes ou manifestes, les alliances conscientes ou inconscientes sont le terreau de ces rivalités. D’éventuels conflits parentaux suscitent des alliances fraternelles ou avec l’un des parents et suscitent ces problématiques. Le jeu des coalitions avec ses logiques du secret accentue les vécus de rejet ou d’abandon.
À ce sujet, certains psychologues parlent de complexe de Caïn. Ils font référence à l’histoire biblique qui conduit au fratricide. Les rivalités fraternelles sont inévitables, mais pas irréductibles. Ce sont les parents qui les augmentent ou au contraire les diminuent.
- en comparant les frères et sœurs
- en les mettant en compétition
- en accordant beaucoup plus d’attention à l’un notamment au plus jeune qui sera vu comme « un ennemi » par l’aîné
- etc.,
Dangers liés à cette phase et en rapport avec la jalousie de l’adulte :
On me prendre tout ce que j’ai, tout ce à quoi je tiens
sentiment qu’un autre sera toujours préféré, sentiment de ne pas être « aimable », sentiment que quelqu’un peut nous ravir l’amour et l’attention, sentiment d’être abandonné par celui ou celle qui devrait nous aimer
La jalousie, une tempête émotionnelle
Le complexe jaloux est à la fois une tempête intérieure et un orage relationnel. Il est zébré par des éclairs de douleur morale. Il défigure les conventions sociales, il déchire les liens investis, il démonte les cadres sociaux, il déstructure les repères internes. Il ne laisse parfois qu’un champ de ruine. C’est à la fois un déchirement, une explosion et un dénudement. C’est un cri de douleur du bébé intérieur qui souffre encore et qui tente de juguler « le rien » auquel le jaloux s’identifie.
Là où le jaloux souhaiterait être l’unique objet d’attention, dans une expérience de centralité, il se trouve hors-jeu, hors lieu.
Ce dont il est exclu, c’est du lien. Il est privé de l’espoir d’une complétude et d’un bonheur. La jalousie suscite alors son lot d’affects : tristesse, abattement, colère, découragement, dégoût de vivre. La tristesse, la culpabilité, la honte sont parmi les principales.
La jalousie relève de ces émotions complexes arrimées à notre histoire relationnelle. Elle est un manque douloureusement ressenti. Elle suscite un mouvement de haine qui peut concerner l’autre en ce qu’il est (le droit d’être lui en dehors de nous) ou en ce qui est source supposée de notre satisfaction (ce qu’il ne nous donne ou pas).
La jalousie est un mélange d’émotions et de sentiments. Les émotions jalouses sont faites de toute la gamme et de toutes les nuances des émotions primaires désagréables : peur, colère, tristesse, dégoût. La peur se déploie du frisson léger à la panique, la colère, de l’agacement à la rage destructrice, la tristesse, du soupir un peu douloureux au désespoir, et le dégoût peut aller jusqu’à la nausée.
Sur ce fond émotionnel changeant se greffent deux sentiments différents qu’on range un peu vite sous le même vocable de jalousie.
- Le premier est la jalousie à proprement parler. Au sens strict, la jalousie est la peur de perdre quelqu’un ou quelque chose (ici, l’amour de l’autre). C’est une composante de la jalousie entre frères et sœurs, entre collègues, et bien sûr de la jalousie amoureuse. La personne souffre de ne plus être le seul sujet et objet d’amour ou d’attention.
- Le second est l’envie. Être envieux, c’est ressentir ce sentiment désagréable qui peut émerger chez nous quand nous constatons qu’une personne possède ou réalise quelque chose que nous aimerions posséder ou réaliser. Elle est éminemment présente dans la jalousie amoureuse : le rival possède l’être aimé ou suscite chez lui un désir ou des sentiments que nous aimerions voir tournés vers nous. L’envie peut être hostile, dépressive ou stimulatrice, selon les personnes et les moments.
La jalousie sans objet
La jalousie infondée est parfois intense, envahissante, délirante, violente, destructrice jusqu’au meurtre. C’est alors la forme maligne, pathologique, de la jalousie : la jalousie paranoïaque. Avec elle, on entre dans le champ de la psychiatrie : c’est une psychose. Quand les doutes sont infondés, ils sont un poison violent pour les personnes et pour la relation. Le jaloux peut rester muet sur ses doutes et se ronger.
Mr perçoit un sourire entre sa femme et son collègue et hop c’est parti, tout devient une preuve de plus du bien-fondé de ses doutes :
- quand sa femme met une jupe ou des talons
- quand elle rentre plus tard qu’à l’accoutumée
- quand elle est joyeuse
- quand elle est triste
- quand il lui semble qu’elle ne dit pas tout
- quand subitement elle refuse un câlin
- etc.,
Ce jaloux-là vit dans la peur permanente, la crispation et le soupçon. Il ne connaît que rarement la confiance et la paix.
Mme X est jalouse, suspicieuse, tout le temps. Elle ne supporte pas que son mari parle à une autre femme. Elle piste, elle fouille et cherche, car forcément il y a quelque chose à trouver.
Elle a honte de ce qu’elle vit et fait vivre, se sent nulle et se désole, mais, quand elle est aux prises avec le doute, c’est irrépressible. Elle se déteste d’être comme cela, mais plus elle se déteste et plus elle est jalouse. Elle sait bien qu’elle s’enferme toute seule dans un cercle vicieux, sans trouver comment en sortir.
La jalousie sans fondement entraîne souvent des scènes à répétition qui sont douloureuses pour le couple, y compris pour le jaloux :
- un regard soutenu vers une autre personne
- un geste
- une conversation trop longue
- une danse de trop
- un regard fuyant
- un parfum inhabituel
- un nouveau style vestimentaire
- etc.,
Tous ces signes sont interprétés comme une assurance du désintéressement de l’autre. Car le jaloux pathologique a une faible estime de lui. Il lui paraît donc impossible d’être aimé pour ce qu’il est. Il cherche à la fois à combler un vide, un manque en gardant l’autre auprès de lui (possessivité), mais ne peut s’empêcher de croire que l’autre finira par partir et se focalise sur le moindre signe qui prouverait cette croyance.
Le jaloux accuse, s’énerve, crie, pleure. Les dénégations d’autrui ne font que renforcer ses soupçons : s’il nie si vigoureusement, c’est qu’il a quelque chose à se reprocher. S’il évite la confrontation, c’est que c’est vrai. Le jaloux, qui a peur de perdre l’amour, par ses scènes sans fondement (en apparence) œuvre inconsciemment pour se diriger vers ce qu’il craint.
En réalité, ses affects sont provoqués par la résurgence (parfois inconsciente) de notre histoire relationnelle et en premier lieu avec nos parents et notre fratrie. C’est la thèse du bébé enragé qui se sent délaissé, insécurisé et qui survit en l’adulte et ne s’arrêtera que lorsqu’il aura obtenu satisfaction ou à défaut qui tombera dans une profonde dépression.
Jalousie, croyances et projections
Lorsque nous avons développé des croyances telles que :
- je serai toujours abandonné
- je ne suis pas important
- je ne vaux rien
- rien ne peut me satisfaire
- tout seul, je ne peux pas
- Quelque chose cloche chez moi
- On me prend tout ce que j’ai, tout ce à quoi je tiens
- etc.,
Nous avons tendance par le phénomène des projections inconscientes à attirer à nous des personnes qui vont renforcer nos croyances. Ainsi la personne qui a peur de l’abandon va s’attacher à un partenaire potentiel peu investi, par exemple.
Bien évidemment, rien n’est inéluctable et toutes ces croyances se modifient en y prenant conscience par un travail thérapeutique adapté, en regardant en face nos peurs et en affrontant nos souffrances avec bienveillance et sans jugement.
Traumatismes sécuritaires et fatalité du complexe jaloux
Nombre de personnes ont vécu des traumatismes liés au sentiment sécuritaire :
- abandon réel et/ou ressenti comme tel
- maltraitance
- préférence d’un enfant au détriment d’un autre
- dévalorisation réelle ou ressentie
- sentiment d’être dépossédé de quelqu’un ou quelque chose
- etc.,
Sans pour autant devenir jaloux pathologique. Mais un grand nombre de personnes atteintes du complexe de la jalousie ont vécu ce type de traumatismes.
Je coche quasiment toutes les cases citées dans la liste et pourtant, je n’ai pas connu la jalousie ni l’envie. Et je ne dois pas être la seule.
Alors pourquoi certains le sont-ils et d’autres pas ?
- sont-ils naturellement plus résilients ?
- savent-ils mieux cultiver le rapport à soi-même
- savent-ils mieux affronter leur douleur ?
- ont-ils trouvé sur leur chemin une personne ou de l’aide pour atténuer leur blessure narcissique ?
- quelque dans les psychogènes hérités de la lignée familiale viendrait en aide ?
Dans le prochain article, je prendrai des thèmes pour étayer mon propos sur la jalousie.
- facteurs planétaires facilitants
- facteurs planétaires propices à un contrepoids
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